Le dimanche 23 juin 2024 se tiendra un grand défilé dansé pour célébrer la jeunesse, l’art et le sport dans le 93 à l’occasion des J.O 2024. La Commune d’Aubervilliers invite 150 amateurs de tous les niveaux à y participer, encadrés de huit danseurs pros d’afro dance, dont le coupé-décalé, du collectif LA FLEUR.

Premiers workshops (gratuits) les samedis 13 et dimanche 14 janvier 2024 à La Commune.

Infos : ateliers@lacommune-aubervilliers.fr
En partenariat avec l’École des Actes et le 0.93 lab / bdg93.

Le projet « On ne va pas se défiler » : une parade imaginée par le collectif La Beauté du geste avec huit lieux de Seine Saint-Denis. Ces lieux de création et de diffusion artistiques publics se sont réunis pour donner toute sa place à la jeunesse et aux habitants du 93 dans le cadre des événements qui se tiendront dans le cadre des Jeux Olympiques de Paris 2024. Pour sa partie du défilé, La Commune a choisi Monika Gintersdorfer et Franck Edmond Yao / Gadoukou La Star, accompagnés de huit danseurs de renom. Leur chorégraphie s’inspire des mouvements sportifs et du coupé-décalé, une musique et un style de danse qui font vibrer les nuits de Côte d’Ivoire, d’Afrique de l’Ouest et d’Europe.

Un workshop par mois sera proposé entre janvier et juin 2024 pour découvrir le coupé-décalé et, progressivement, apprendre la chorégraphie. Les premiers rendez-vous auront lieu les samedi 13 et dimanche 14 janvier 2024. Des répétitions générales avec l’ensemble des participants auront lieu en juin 2024.

Les artistes
Monika Gintersdorfer et Franck Edmond Yao / Gadoukou La Star ont fait se rencontrer théâtre et danse notamment à La Commune, avec des spectacles tels que Nana, Pièce d’actualité n°11 : Trop d’inspiration dans le 93, ou encore Pièce d’actualité n°19 : El Nueve. LA FLEUR, leur collectif, a été créé en 2016. Il rassemble aussi bien des figures importantes du mouvement coupé-décalé que des interprètes et artistes allemands, français et mexicains. Les plus âgés sont chanteurs, danseurs, animateurs et chorégraphes et animent depuis les années 2000 les nuits de la diaspora ivoirienne à Paris ; les plus jeunes se sont formés dans la légendaire Rue Princesse à Abidjan et se produisent à présent régulièrement en France.

Depuis 2005, la metteuse en scène Monika Gintersdorfer crée des pièces au sein du groupe ivoiro-allemand Gintersdorfer/Klaßen, dont l’un des piliers est Franck Edmond Yao. Ensemble, ils explorent l’univers artistique et les stratégies développées par les artistes ivoiriens pour percer et se faire un nom.

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